5 questions à se poser… avant de se lancer dans un projet d’impression
Un livre photo de vos dernières vacances, une carte postale à distribuer à vos amis, ou des cartes de visite pour vous lancer en tant que photographe-auteur ? Tous ces projets vont vous amener à répondre à un certain nombre de questions sur la préparation de vos fichiers.
1. Quel prestataire ?
C’est la question N° 1 et nous vous conseillons fortement de choisir votre prestataire en amont de votre réalisation. Pourquoi ? Parce que les pages de recommandation du prestataire choisi vous permettront de répondre à plusieurs des questions suivantes, par exemple sur ce qui est accepté ou pas comme type de fichiers.
La quantité de prestataires possibles pour votre projet est très large, chercher « imprimer mon livre photo » dans un moteur pour vous en convaincre. L’offre est pléthorique pour le moins !
Commencez par définir le nombre d’exemplaires souhaités. L’impression à la demande répond à un besoin ponctuel et en petite quantité. Cela évite aussi d’investir de grosses sommes sans être certain d’écouler votre stock ensuite. Inversement l’impression classique permet de faire baisser le coût à l’unité. Ces éléments vous aiguilleront déjà vers un type de prestataire plutôt que l’autre.
Vous pourrez ensuite trouver sur le web des comparatifs des différentes sociétés qui vous permettront d’affiner votre choix en fonction de votre projet et des options présentes chez les uns et les autres (par exemple, format des livres, types de reliures... etc.). Voir Blog sur les affiches.
La quantité de prestataires possibles pour votre projet est très large, chercher « imprimer mon livre photo » dans un moteur pour vous en convaincre. L’offre est pléthorique pour le moins !
Commencez par définir le nombre d’exemplaires souhaités. L’impression à la demande répond à un besoin ponctuel et en petite quantité. Cela évite aussi d’investir de grosses sommes sans être certain d’écouler votre stock ensuite. Inversement l’impression classique permet de faire baisser le coût à l’unité. Ces éléments vous aiguilleront déjà vers un type de prestataire plutôt que l’autre.
Vous pourrez ensuite trouver sur le web des comparatifs des différentes sociétés qui vous permettront d’affiner votre choix en fonction de votre projet et des options présentes chez les uns et les autres (par exemple, format des livres, types de reliures... etc.). Voir Blog sur les affiches.
2. Quel logiciel ?
La plupart des prestataires d’impression vous proposent un logiciel de leur cru, explorez d’abord cette solution. Si le logiciel est bien conçu, cela vous fera gagner du temps par rapport aux logiciels classiques de PAO (Publisher, Indesign… etc). A noter que pour un projet simple, un traitement de texte (word, writer…) peut suffire.
Dans tous les cas, il vous faudra préparer vos images en amont avec un logiciel de traitement d’image (Photoshop, Gimp… etc)
3.CMJN ou RVB ?
Là encore, les spécifications indiquées par le prestataire choisi peuvent vous permettre de répondre à la question : certains n’acceptent pas le CMJN, d'autres au contraire refusent les documents RVB.
Historiquement, l’impression des photographies se faisait en CMJN car cela correspond aux encres d’imprimerie. Travailler en CMJN permet d’obtenir une meilleure correspondance entre votre image à l’écran et le rendu imprimé. Cependant si vous n’êtes pas expert dans le domaine, il est, en pratique, souvent plus simple de laisser vos fichiers en RVB.
4.Quel type de fichier et quelle résolution ?
Les types de fichiers pour les images acceptés les plus couramment par les prestataires sont JPG et TIFF. Le TIFF a l’avantage de ne pas faire subir de compression destructive à votre fichier et donc de ne pas engendrer de perte de qualité.
Pour imprimer une image avec un rendu correct, il faut qu’elle soit en haute résolution. On considère 300dpi comme la norme, mais vous pouvez descendre à 200 dpi pour un projet qui ne nécessite pas un rendu très fin de l’image. Par exemple, une image utilisée en fond estompé ou filigrane d’une affiche n’a pas forcément besoin d’être en 300dpi.
Pour imprimer une image avec un rendu correct, il faut qu’elle soit en haute résolution. On considère 300dpi comme la norme, mais vous pouvez descendre à 200 dpi pour un projet qui ne nécessite pas un rendu très fin de l’image. Par exemple, une image utilisée en fond estompé ou filigrane d’une affiche n’a pas forcément besoin d’être en 300dpi.
5. A fond perdu ou pas ?
Que vous utilisiez le logiciel du prestataire ou un logiciel PAO classique, soyez attentifs aux bords de votre composition quand vous avez un fond qui doit être présent jusqu'aux bords de votre document.
Si par exemple, vous souhaitez avoir un fond de couleur sur toute la surface de votre document, il faudra en général créer un « débord », c’est-à-dire faire déborder la couleur de 2 ou 3 mm de votre document. Ce débord permet de pallier à des coupes imprécises qui du coup laisserait apparaître un filet blanc sur le bord de votre document.
Pour la même raison, ne collez jamais trop votre texte au bord de votre document, il a toutes les chances d’être « mangé » au massicotage. Gardez 5 mm de marge minimum et plus dans le cas de documents reliés.
Enfin, dernier conseil et non des moindres, contrôlez par tous les moyens possibles (impression « domestique », impression d’un exemplaire chez un reprographe local… etc.) la bonne réalisation de votre document avant de valider la commande !
Site à voir : www.lesgrandesimprimeries.com/